Vive Le Quebec libre

Guest   Sat Jan 07, 2006 4:59 am GMT
J'ouvre une parenthèse. Si vous avez un peu trop d'air, je la fermerai tout de suite.
-- (Alphonse Allais)
Guest   Sat Jan 07, 2006 5:00 am GMT
Les yeux dans les yeux, Les coeurs dans les cieux...
-- (Inconnu)
Guest   Sat Jan 07, 2006 5:03 am GMT
L'expérience est une lanterne accrochée dans le dos.
-- (Confucius)
Guest   Sat Jan 07, 2006 5:05 am GMT
Les livres que le monde appelle immoraux sont ceux qui lui montrent sa propre ignominie.
-- (Oscar Wilde)
Guest   Sat Jan 07, 2006 5:06 am GMT
Avant que tu ne parles, on doit pouvoir lire sur ton visage ce que tu vas dire.
-- (Marc Aurele)
Guest   Sat Jan 07, 2006 5:07 am GMT
La prospérité montre les heureux, l'adversité révèle les grands.
-- (Pline le Jeune)
Merci   Sat Jan 07, 2006 5:08 am GMT
Guest   Sat Jan 07, 2006 10:45 pm GMT
Je suis tombé par hasard sur cet article, je tenais donc a vous le faire partager.

Ne pas oublier de faire cette prière au moins une deux fois par jour, sois au levé et au couché.



PRIÈRE D'UN VRAI QUÉBÉCOIS

Notre Québec qui est offensé
Que ton nom soit reconnu
Que ton référendum soit accordé
Que ta souveraineté soit faite
Sur cette terre qui est la nôtre
Donne-nous aujourd'hui notre espoir de demain
Pardonne-nous d'avoir été canadien
Comme nous le pardonnerons
À ceux qui le resteront
Mais délivre-nous du Canada


http://daniel.hautetfort.com/archive/2005/05/13/priere_d_un_vrai_quebecois.html
Guest   Sun Jan 08, 2006 1:41 am GMT
Notre Mission


L’Objectif du plan proposé ici est de faire augmenter le pourcentage de gens en faveur de l’indépendance du Québec, en semant de la fierté à l’aide d’un long métrage grand public, qui sera financé par la vente de produits.

Plusieurs marques de commerce seront enregistrées par des individus d’un organisme, cet organisme a la tâche de faire augmenter le pourcentage de gens en faveur de l’indépendance. Les produits mis en marché seront comme la marque maison des indépendantistes. Avec, dans leur publicité, un sentiment de fierté, qui sera plus que l’équivalent de l’adversaire. Avec le ¨I am Canadien ¨ de Molson ou la ligne de vêtement Roots, nous ferons des messages pour les affronter directement en faisant réaliser au gens que s’ils sont francophones et qu’ils portent un chandail Roots, ils sont colons.

Plusieurs publicités ne parlent pas de leur produit, mais tentent plutôt de s’associer à un mouvement, à une sous-culture, ou à un type de personnalité. Et la méthode fonctionne à merveille. Donc nous sommes un groupe important, qui avons des idéaux communs, un rêve commun, une fierté commune. À travers les publicités des produits, nous ferons la promotion de ces mêmes valeurs. Pour que lorsque nos clients co-patriotes se procureront l’un de nos produits, qu’ils se sentent fiers et qu’ils l’affichent, pour que sa fierté soit contagieuse. Nous prônerons aussi que nous sommes plus fiers d’être Québécois qu’un Américain peut être fier d’être Américain. Eux s’affichent, nous encore plus.

Les profits engendrés par la vente de ces produits indépendantistes iront à financer la production du long métrage grand publique La Libération, dans lequel on verra le Québec proclamer sont indépendance, à l’aide de personnages qui leur ressemblent et dans lequel tout le monde pourra se projeter. Chaqun de ces personnages se trouvera une raison personnelle de s’associer à la libération. Tout cela dans un futur rapproché, l’action du film se déroule en 2008. Sortie du film: avant les dernières élections provinciales.

Donc si les marques de commerce que nous avons fondées ont amassé suffisamment d’argent pour financer un film de grande envergure, c’est qu’elles auront fonctionnées, leurs logos et leur présence se verront partout au Québec. Et alors, ils se verront gagner de manière héroïque sur grand écran. Comment voulez-vous que les Québécois votent libéral après ça?

http://www.laliberation.org/index.php?option=content&task=view&id=2&Itemid=25
Guest   Sun Jan 08, 2006 3:13 am GMT
Près de la moitié des jeunes Québécois s'identifiant au Parti libéral du Canada voteront pour un autre parti politique lors des prochaines élections fédérales.
C'est du moins ce qui ressort d'un sondage effectué par la firme Innovative Research Group.

Selon cette enquête, 13% des sympathisants libéraux âgés de 18 à 24 ans feront défection pour le Bloc québécois; 9% choisiront le NPD et 8% opteront pour les conservateurs.

De tous les chefs, Paul Martin est par ailleurs celui qui est le plus mal perçu par les jeunes électeurs, avec 75% d'opinions défavorables.

Si des élections avaient lieu aujourd'hui, la moitié des 873 jeunes libéraux interrogés voteraient pour le Bloc québécois, 18% pour le NPD, 11% pour le Parti libéral, et 7% pour le Parti conservateur.

Le sondae a été effectué du 28 novembre au 1er décembre. La marge d'erreur est de plus ou moins 3,3%, 19 fois sur 20.


http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/archives/2005/12/20051206-110422.html
Guest   Sun Jan 08, 2006 3:16 am GMT
«Il y a autant de chance que le Québec devienne souverain que Jacques Chirac, président de la France.» (Jean Chrétien, ex premier ministre du Canada)
online pocker   Mon Jan 09, 2006 2:31 am GMT
That's a good one :) <br><a href="http://www.my-ultimatebet.com/pocker/Free_Online_Pocker.html" title="online pocker">online pocker</a>
Guest   Wed Jan 11, 2006 12:52 am GMT
Montréal Québec:



Aide occulte pour le NON
Option Canada aurait dépensé 3,5 millions lors du référendum de 1995

Clairandrée Cauchy
Édition du mardi 10 janvier 2006

Mots clés : Canada (Pays), Gouvernement, Parti politique, option canada

Le journaliste Normand Lester et son collègue Robin Philpot ont lancé un immense pavé dans la mare de la campagne électorale hier en publiant un livre sur les activités d’Option Canada (OC) lors du référendum de 1995, Les Secrets d’Option Canada. On y révèle que l’organisme, issu du Conseil pour l’unité canadienne et financé par Patrimoine Canada à la hauteur de 5,2 millions, a contrevenu aux lois québécoises en assumant des dépenses en pleine période référendaire.





Le journaliste Normand Lester (ci-dessus) et son collègue Robin Philpot ont dévoilé hier les preuves montrant qu’Option Canada a contribué au financement du camp du NON lors de la campagne référendaire de 1995.
Jacques Grenier



Selon une évaluation des auteurs, OC aurait ainsi environ dépensé illégalement 3,5 millions, en plus des cinq millions que le comité du NON était autorisé à utiliser pour la période du 1er au 30 octobre. Ils soulignent cependant qu’il est difficile de déterminer quelles dépenses étaient clairement sous le coup de la loi québécoise sur les consultations populaires.


À la source de ce livre : une boîte récupérée par le journaliste Normand Lester dans les poubelles d’un centre commercial de la Rive-Sud en novembre, contenant la majeure partie des documents comptables de l’organisme, dont 688 chèques émis, de nombreuses factures et le grand livre comptable.


Production d’affiches, publicités, groupes de discussion, sondages, «bénévoles» payés, recherches commanditées, on retrouve dans le livre une description détaillée des dépenses assumées par Option Canada, dont plusieurs alors que la campagne électorale battait son plein et qu’elles auraient dû être assumées par le camp du NON. Option Canada a même payé quelque 100 000 $ pour la soirée du NON du 30 octobre au Métropolis.


«Cela semble être un peu la genèse [du programme des commandites]. On retrouve une partie des mêmes suspects déjà dans Option Canada qui se sont retrouvés dans les commandites», a affirmé Normand Lester. En effet, les noms des firmes BCP, Everest, ou encore de l’organisateur politique Tony Mignacca cités lors de la commission Gomery figurent sur les factures payées par Option Canada.


Les auteurs égratignent sérieusement les libéraux, dont au premier rang Paul Martin lui-même qui avait embauché le président d’Option Canada Claude Dauphin après que The Gazette eut révélé en 1997 l’existence d’Option Canada. «Paul Martin nous a dit vendredi que l’argent avait été dépensé selon les règles. Il se trompe et nous trompe gravement. Cela n’a pas été dépensé selon les règles du gouvernement du Canada. On n’accorde pas une subvention de 5,2 millions pour la dualité linguistique pour la dépenser de façon secrète dans une campagne démocratique», a lancé Robin Philpot, qui réclame une enquête publique du Directeur général des élections du Québec.


Le DGE recevra d’ailleurs une copie des documents contenus dans la mystérieuse boîte, dont les originaux seront transmis à la vérificatrice générale, comme M. Lester l’avait promis à sa source.
Déjà, à la suite des appels des deux auteurs, Patrimoine Canada a pris contact en décembre avec la GRC qui évalue la pertinence de mener une enquête. Au bureau de la vérificatrice générale, on précise que des recherches avaient été amorcées en 1997, à la suite d’une vérification interne au sein de Patrimoine Canada, mais que le manque de documents n’avait pas permis de la conclure. On évaluera à la lumière des nouveaux documents s’il y a matière à l’entreprendre de nouveau, précise la porte-parole Isabelle Serrurier.


Le DGEQ a quant à lui déjà indiqué qu’il mènerait une enquête. Le délai de prescription de cinq ans ne lui permettra toutefois pas d’entreprendre des poursuites.
Outre Paul Martin, les auteurs mettent aussi dans sur la sellette les députés Liza Frulla et Pierre Pettigrew. La première, alors députée au provincial et vice-présidente de la campagne du NON, ne pouvait pas ignorer l’existence d’OC, selon Lester et Philpot, parce que son conjoint André Morrow a adressé des factures totalisant plus 10 000 $ à l’organisme.


Pierre Pettigrew se serait quant à lui fait payer 13 674 $ pour agir à titre d’expert-conseil. Il a d’ailleurs signé six textes d’opinion dans La Presse sur les sujets de ces recherches, précisent les auteurs.
Philpot et Lester soutiennent qu’il était difficile d’ignorer les activités d’Option Canada chez les responsables du camp du NON, ciblant ainsi la députée Lucienne Robillard, qui représentait le PLC au comité du NON, Jean Charest qui représentait le Parti conservateur, Liza Frulla (alors vice-présidente de la campagne) et Daniel Johnson qui présidait le comité. «Ils ne peuvent plus plaider l’ignorance», a argué Robin Philpot.


«Il y a eu de la coordination [entre le comité du NON et Option Canada]. Qui décidait d’envoyer les factures au comité du NON ou à Option Canada. C’est pour cela qu’on veut avoir une enquête publique pour forcer les gens à répondre. Nous, on ne peut forcer ces gens-là. On leur téléphone, ils nous raccrochent la ligne au nez», fait valoir M. Lester.
Ce dernier s’est moqué de l’ignorance de Claude Dauphin, actuellement membre du conseil exécutif de la Ville de Montréal, qui disait ne pas savoir comment les fonds étaient dépensés. «Un président honoraire en général n’est pas impliqué aussi directement», note M. Lester en soulignant que M. Dauphin facturait «avec diligence 3200 $ toutes les deux semaines pour ses services».



C’est le même scénario pour l’ancien p.-d.g. du Conseil de l’unité canadienne, Jocelyn Beaudoin, aujourd’hui délégué du Québec à Toronto, qui a touché quelque 24 000 $ au cours de l’automne 1995, alors qu’il prétendait ne plus être lié à OC depuis sa fondation en septembre.
La majeure partie des sommes citées dans le brûlot est cependant allée à la firme BCP communication, pour la production d’affiches, de matériel promotionnel et de publicités. Chez BCP on niait formellement qu’Option Canada ait payé des factures pour des services rendus pendant la campagne référendaire. Lorsqu’on précise que certaines factures portent la mention «campagne référendaire» et étaient adressées dans un premier temps au comité du NON avant d’être réacheminées à Option Canada, le porte-parole de BCP, François Taschereau, fait valoir qu’il y a eu des «erreurs cléricales [sic]». Il prend cependant bien soin de préciser que ce n’est pas la compagnie qui fournit les services qui contrevient le cas échéant à la loi québécoise, mais bien celui qui les paie et omet de les comptabiliser dans les dépenses référendaires.

Réaction libérale
Au Parti libéral, les Lucienne Robillard, Liza Frulla et Pierre Pettigrew se faisaient discrets hier, préférant envoyer au front le lieutenant québécois Jean Lapierre, qui n’a pas manqué de rappeler qu’il était «neutre et objectif» en 1995 puisqu’il travaillait dans le milieu des médias. Il remplaçait ainsi la ministre du Patrimoine canadien, Liza Frulla, qui a jugé bon de se récuser étant donné son rôle dans la campagne du NON en 1995.


«Il y a plus d’éditorial que de faits nouveaux [dans le livre]. Cependant, je me réjouis de voir que les documents qu’on disait volés ont refait surface et que les autorités compétentes vont pouvoir les étudier et tirer leurs conclusions», a déclaré Jean Lapierre hier, soulignant que le paiement d’une facture en octobre ne signifiait pas nécessairement que le service ait été rendu en octobre.


Arguant que Normand Lester réside dans sa circonscription et que son pointage indique qu’il n’est pas un «supporter libéral», Jean Lapierre a tenté de jeter le discrédit sur la démarche des auteurs. «Le timing est suspect. Ces gens-là se dépêchent pour produire ce livre et le diffuser le jour du débat. Ce n’est pas un exercice professionnel. Il y a même des doutes sur le fait que les documents auraient pu être volés», a -t-il déclaré. M. Lapierre a aussi réitéré la ligne de défense martelée la semaine dernière voulant que le gouvernement du Québec ait dépensé 25 millions en dépenses préréférendaires.


En entrevue à Radio-Canada, Daniel Johnson a quant à lui nié catégoriquement avoir été mis au courant des activités d’OC. «J’ai un parcours d’une quarantaine d’années sans aucune anicroche et aujourd’hui on essaie de m’associer à ce qu’on fait passer pour des infractions [...] à la loi sur les référendums. Tant que j’ai été député et chef de parti, jamais on n’a mené la barque autrement qu’en plein respect des lois référendaires et électorales du Québec», a-t-il soutenu.

Avec la Presse canadienne

http://www.ledevoir.com/2006/01/10/99338.html
Guest   Wed Jan 11, 2006 12:58 am GMT
Pourquoi la souveraineté ?

Parce que toutes les nations du monde aspirent à gérer elles-mêmes leurs affaires, et à faire directement entendre leur voix au reste du monde.

La souveraineté c'est l'état normal d'une nation.

Le Canada nous dit que la souveraineté est un replis sur soi. C'est exactement le contraire. Eux l'ont compris et le Canada est un pays souverain. Beaucoup d'autres nations l'ont compris aussi. Au cours des vingt dernières années une trentaine de nations ont choisi la liberté, et s'expriment désormais au sein des Nations-Unis.

Pourquoi les Québécois et les Québécoises, qui constituent sans l'ombre d'un doute une nation, accepteraient-ils d'être un peuple minoritaire, non-reconnu par le Canada ? Au sein de cette fédération britannique, nous ne sommes qu'une minorité linguistique de plus en plus marginalisée. L'idée des deux peuples fondateurs est morte depuis déjà longtemps. Ce n'était qu'un hochet pour gagner du temps et endormir nos désirs de liberté.

D'autres minorités linguistiques émergent, notamment dans l'ouest du Canada, et nous ne serons bientôt qu'une minorité parmi d'autres….

Bien sûr, d'aucuns diront que les Québécois et les Québécoises peuvent s'épanouir pleinement comme individu au sein du Canada. Mais n'est-ce pas là une situation qui s'applique pour tous les membres d'une minorité vivant dans un pays développé, du moment qu'ils acceptent sagement les règles du jeu de la majorité ?

Il n'est pas ici question de la survie des individus, mais de la capacité qu'ont ces individus à pouvoir faire les choix qu'ils désirent en tant que nation. Bien sûr les individus survivront, mais notre nation sera de plus en plus atrophiée, sans voix réelle, insignifiante….

En 1840, les Québécois, représentaient 59,0% de la population du Canada. Trente-et-une années plus tard, en 1871, nous n'étions plus que 43,7%. Ce chiffre tomba à 27,7% en 1931. Et aujourd'hui nous ne sommes plus que 23,7%. Nous passerons bientôt sous la barre symbolique des 20%.......

À la lumière de ces chiffres, qui peut affirmer sérieusement que notre influence à Ottawa ira en s'accroissant au cours des prochaines années, des prochaines décennies, du prochain siècle ? Est-ce là l'héritage que nous lègueront à nos enfants ?

Tout au long de notre histoire, nous avons été à la remorque des choix d'un autre peuple et les choses iront en s'aggravant. Des Québécois sont allés faire la guerre, ont perdu la vie, parce que le parlement fédéral qu'ils ne contrôlaient pas avait décidé qu'ils iraient au front. Plus récemment, en 1970, des centaines de Québécois et de Québécoises innocents furent emprisonnés injustement par la seule décision du Parlement fédéral. Chaque année, ce parlement fédéral, dans lequel nous serons de plus en plus minoritaires, décide de ce qui est bon et de ce qui est mauvais pour nous. Parfois ces choix nous conviennent, parfois ils ne nous conviennent pas. Pourtant, ils affectent directement notre capacité à construire la société que nous voulons nous donner. Pourquoi alors se contenter du choix des autres en espérant qu'il sera aussi le nôtre ?

Pourquoi devons-nous batailler constamment pour tenter d'influencer la nation majoritaire alors que nous pourrions tout simplement faire les choses chez nous, comme nous le désirons en récupérant tous nos impôts ?

Le temps est venu pour la nation québécoise de s'assumer pleinement et de se tenir debout, sans idées revanchardes. Nous avons pour nous une géographie qui donne accès au monde, les ressources naturelles et humaines, les compétences, et un attachement profond à notre culture.

Bâtissons ici, chez nous, en Amérique, une société francophone, démocratique, laïque, et ouverte sur le monde.

http://quebeclibre.net/pourquoi.html
Guest   Wed Jan 11, 2006 3:13 am GMT
Pétition francophone internationale contre la propagande canadienne anti-québécoise

"Cette pétition francophone internationale contre la propagande canadienne anti-québécoise" a pour objectif de soutenir la

"Pétition nationale contre la propagande du gouvernement canadien au Québec" lancée par Gilles Rhéaume, pour le Mouvement Souverainiste du Québec.

Nos amis Québécois qui le souhaitent peuvent également signer cette pétition sur le site québécois www.vigile.net

Voici le texte de
l'Appel de Gilles Rhéaume :

" Depuis le référendum de 1995, alors que le OUI à la souveraineté, malgré des irrégularités nombreuses du côté du NON, a obtenu 49,4% des voix exprimées, le gouvernement du Canada a entrepris au Québec une vaste campagne de "relations publiques" afin d'assurer une plus grande visibilité à un pays auquel au moins la moitié de la population québécoise avait formellement cessé de s'identifier.

Ces campagnes publicitaires prennent des formes innombrables et sombrent souvent dans un ridicule incroyable. À telle enseigne que, vingt-quatre heures par jour, sept jours par semaine et cinquante-deux semaines par année, tous les postes de radio, tous les réseaux de télévision, tous les journaux, toutes les revues et tous les magazines, sans oublier les panneaux sur les voies publiques, sont inondés de messages vantant les vertus canadiennes.

Nous dénonçons

Nous dénonçons le renforcement de cet "exhibitionnisme fédéral" confirmé par la création de la "patente à Gagliano"... Nous estimons que tout cela est de la pure propagande et nous tenons à le dénoncer avec toute la vigueur dont nous sommes capables. La propagande, c'est le viol des consciences et l'abrutissement des masses.

Non seulement ce procédé est pervers dans son essence et irrespectueux dans sa pratique, mais en plus, ces dépenses de plus de 100 millions de dollars par année sont carrément indécentes alors que ces sommes seraient beaucoup plus utiles si elles étaient investies au Québec dans le domaine de l'éducation et de la santé.

Nous exigeons

Nous, soussigné(e)s, demandons que cesse immédiatement cette propagande.

Nous demandons

Nous demandons aussi aux journalistes de faire toute la lumière sur cette ténébreuse affaire et sur les importants contrats qui sont ainsi attribués le plus souvent aux amis du régime. Quels autres pays, sauf les dictatures, agissent ainsi ?

Nous souhaitons

Enfin, nous souhaitons que les élus québécois, tant à l'Assemblée nationale du Québec qu'à la Chambre des Communes à Ottawa, dénoncent également cette manoeuvre qui, tant par sa nature que par sa portée, discrédite le Canada et méprise le peuple québécois.

Nous agissons

Les soussigné(e)s s'engagent également à faire circuler cet appel. "


Gilles Rhéaume,
pour le Mouvement souverainiste du Québec

http://www.voxlatina.com/petition3.php3