Ik stem toe.
Vive Le Quebec libre
<Fout antwoord>
As long as the pair of you end this discussion, any answer will do, even a wrong one.
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How bloody Dutch can you get, hey Sander? Always raising your finger, interfering and admonishing others.
Germanics and Anglo-Saxons are cousins. Expect similar behavior from them.
<Germanics and Anglo-Saxons are cousins. Expect similar behavior from them>
No, people are people before being Latin, Germanic or anything. I expect different behavior from each individual.
No, people are people before being Latin, Germanic or anything. I expect different behavior from each individual.
Un nouveau sondage confirme une progression de l'appui majoritaire à la souveraineté
Un nouveau sondage CROP-La Presse tenu en juillet 2005 confirme que l'appui majoritaire à la souveraineté se maintient. Selon le dernier coup de sonde, plus de 55% des Québécois auraient voté OUI à la souveraineté du Québec si un référendum avait été tenu.
Sondage CROP-La Presse
La souveraineté à son plus haut niveau depuis 1995
par : Denis Lessard, La Presse, 2 juillet 2005
La souveraineté a le vent dans les voiles.
La plus récente enquête de la maison CROP réalisée pour La Presse indique que l'appui à la souveraineté atteint un record historique depuis le référendum de 1995. En mars 1996, dans le bouillonnement postréférendaire après l'arrivée de Lucien Bouchard à Québec, la souveraineté avait atteint un niveau de popularité comparable.
En juin dernier, 55 % des Québécois auraient voté OUI après répartition des 6 % d'indécis. Même dans les résultats bruts, avant toute répartition des non-répondants, la souveraineté atteint désormais 52 % d'appuis quand on repose la question du référendum de 1995, qui prévoyait un partenariat politique et économique avec le reste du Canada. Les fédéralistes comptent pour 41 % de la population.
Chez les électeurs péquistes, l'appui à la souveraineté atteint 83 %.
«La grogne des gens contre les libéraux à Québec et à Ottawa, donc les fédéralistes, conjuguée à la popularité des partis souverainistes à Québec comme à Ottawa, peut expliquer cette tendance», selon Claude Gauthier, de la maison CROP.
M. Gauthier fait aussi remarquer qu'une nouvelle génération de jeunes souverainistes, inspirée par les Cowboys fringants et Loco Locass, commence à apparaître dans les sondages. Néanmoins, ce sont encore les 35-54 ans qui sont le plus souverainistes au Québec: ils sont plus de 56 %, dans ce groupe d'âge, à être en faveur de la souveraineté, contre 52 % pour les 18-34 ans et 44 % pour les 55 ans et plus.
Moins d'adhésions au nouveau programme du PQ
La souveraineté a le vent dans les voiles, mais les changements apportés par le Parti québécois à la plateforme référendaire réduisent de quelques points les chances que le OUI l'emporte à un éventuel référendum, montre le sondage CROP.
La maison de sondages a vérifié l'appui qu'obtiendrait la nouvelle mouture du programme péquiste adoptée au congrès de juin, dans laquelle le PQ a mis de côté son engagement à conclure des ententes avec le reste du pays.
Un tel référendum demanderait: «Désirez-vous que le Québec accède au statut de pays souverain, sans offre de partenariat, mais quitte à proposer par la suite un accord de libre-échange au reste du Canada?» - un reflet fidèle de la stratégie discutée au dernier congrès péquiste.
Quand on pose cette question aux Québécois, la souveraineté obtient 45 % d'appuis et le camp fédéraliste obtient 49 %. «Cette formulation fait baisser les appuis à la souveraineté mais, quand même, 45 % des gens disent oui à un Québec souverain», observe Claude Gauthier. Ce score est à peu près celui qu'obtenait la souveraineté-association au début de la campagne référendaire de 1995: «Le nouveau concept du programme péquiste n'est pas si perdant que ça», conclut-il.
Quant à la tenue d'un référendum si le Parti québécois reprenait le pouvoir, c'est le scénario privilégié par 53 % des électeurs, qui se diraient alors favorables à «la tenue d'un référendum sur la souveraineté au cours du prochain mandat de ce gouvernement». Inversement, 42 % des gens seraient défavorables à cette consultation.
«Le climat a passablement changé, tranche le spécialiste de CROP. On est désormais ouvert à un référendum, ce qui n'était pas le cas il y a quelques années.»
http://www.quebeclibre.net/sondage1.html
Un nouveau sondage CROP-La Presse tenu en juillet 2005 confirme que l'appui majoritaire à la souveraineté se maintient. Selon le dernier coup de sonde, plus de 55% des Québécois auraient voté OUI à la souveraineté du Québec si un référendum avait été tenu.
Sondage CROP-La Presse
La souveraineté à son plus haut niveau depuis 1995
par : Denis Lessard, La Presse, 2 juillet 2005
La souveraineté a le vent dans les voiles.
La plus récente enquête de la maison CROP réalisée pour La Presse indique que l'appui à la souveraineté atteint un record historique depuis le référendum de 1995. En mars 1996, dans le bouillonnement postréférendaire après l'arrivée de Lucien Bouchard à Québec, la souveraineté avait atteint un niveau de popularité comparable.
En juin dernier, 55 % des Québécois auraient voté OUI après répartition des 6 % d'indécis. Même dans les résultats bruts, avant toute répartition des non-répondants, la souveraineté atteint désormais 52 % d'appuis quand on repose la question du référendum de 1995, qui prévoyait un partenariat politique et économique avec le reste du Canada. Les fédéralistes comptent pour 41 % de la population.
Chez les électeurs péquistes, l'appui à la souveraineté atteint 83 %.
«La grogne des gens contre les libéraux à Québec et à Ottawa, donc les fédéralistes, conjuguée à la popularité des partis souverainistes à Québec comme à Ottawa, peut expliquer cette tendance», selon Claude Gauthier, de la maison CROP.
M. Gauthier fait aussi remarquer qu'une nouvelle génération de jeunes souverainistes, inspirée par les Cowboys fringants et Loco Locass, commence à apparaître dans les sondages. Néanmoins, ce sont encore les 35-54 ans qui sont le plus souverainistes au Québec: ils sont plus de 56 %, dans ce groupe d'âge, à être en faveur de la souveraineté, contre 52 % pour les 18-34 ans et 44 % pour les 55 ans et plus.
Moins d'adhésions au nouveau programme du PQ
La souveraineté a le vent dans les voiles, mais les changements apportés par le Parti québécois à la plateforme référendaire réduisent de quelques points les chances que le OUI l'emporte à un éventuel référendum, montre le sondage CROP.
La maison de sondages a vérifié l'appui qu'obtiendrait la nouvelle mouture du programme péquiste adoptée au congrès de juin, dans laquelle le PQ a mis de côté son engagement à conclure des ententes avec le reste du pays.
Un tel référendum demanderait: «Désirez-vous que le Québec accède au statut de pays souverain, sans offre de partenariat, mais quitte à proposer par la suite un accord de libre-échange au reste du Canada?» - un reflet fidèle de la stratégie discutée au dernier congrès péquiste.
Quand on pose cette question aux Québécois, la souveraineté obtient 45 % d'appuis et le camp fédéraliste obtient 49 %. «Cette formulation fait baisser les appuis à la souveraineté mais, quand même, 45 % des gens disent oui à un Québec souverain», observe Claude Gauthier. Ce score est à peu près celui qu'obtenait la souveraineté-association au début de la campagne référendaire de 1995: «Le nouveau concept du programme péquiste n'est pas si perdant que ça», conclut-il.
Quant à la tenue d'un référendum si le Parti québécois reprenait le pouvoir, c'est le scénario privilégié par 53 % des électeurs, qui se diraient alors favorables à «la tenue d'un référendum sur la souveraineté au cours du prochain mandat de ce gouvernement». Inversement, 42 % des gens seraient défavorables à cette consultation.
«Le climat a passablement changé, tranche le spécialiste de CROP. On est désormais ouvert à un référendum, ce qui n'était pas le cas il y a quelques années.»
http://www.quebeclibre.net/sondage1.html
Guest: No moriré hasta que vea al Québec como un pais independiente. Te guste o no.
I really wonder what's more stupid ...
The message of that guest,
or this message by Sigma ...
=>Guest: No moriré hasta que vea al Québec como un pais independiente. Te guste o no. <=
* Translation *
''Guest: I will Not die until I see Quebec as an independent country. Wether you like it or not. ''
As far as I'm concerned, you're both idiots.
The message of that guest,
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=>Guest: No moriré hasta que vea al Québec como un pais independiente. Te guste o no. <=
* Translation *
''Guest: I will Not die until I see Quebec as an independent country. Wether you like it or not. ''
As far as I'm concerned, you're both idiots.
SAMEDI 31 DECEMBRE 2005Le problème canadien, faut-il le rappeler, ne réside pas dans le refus québécois d'admettre leur identité civique canadienne, mais bien dans le refus canadien d'admettre la nation québécoise. Et c'est ce refus qui constitue un argument de poids en faveur de l'indépendance du Québec. - Michel Seymour, Philosophe.
Le spectacle de l'ineptie
Robert Laplante, l'Action Nationale
Le 14 novembre 2005
Quel incroyable spectacle nous donnent le NPD et le Parti conservateur. On ne sait plus très bien dans quel registre situer cette médiocrité : le vaudeville, le délire, l'absurde ou tout simplement l'insignifiance.
On les avait vu s'effondrer au printemps dernier, tremblant devant la moindre oscillation des sondages, rongés par la peur de se faire associer aux séparatistes pour renverser un gouvernement corrompu. On les voit désormais se désintégrer devant… devant quoi au juste ? Devant eux-mêmes, au fond. Devant la politique canadian et ce qu'elle a d'impitoyable depuis que le trudeauisme en a refaçonné la logique au point d'en faire le fondement de la modernisation institutionnelle. Ces deux partis sont incapables de se donner des programmes qui s'en démarquent réellement. Les préoccupations des couches électorales qu'ils servent ne parviennent guère à s'articuler sur un autre registre que celui qui a donné sa matrice idéologique au Parti libéral du Canada et n'apparaissent dès lors dans l'espace politique qu'en termes régionaux ou locaux. Le PLC a d'autant moins de mal à se présenter et se penser comme l'incarnation des intérêts nationaux que le paradigme sur lequel il s'est construit constitue réellement le nouveau socle identitaire de la société canadienne.
La négation de la nation québécoise, l'imposition d'une constitution illégitime, le Clarity Bill, tout cela forme un ensemble, un paradigme véritablement fondateur. Pour mieux empêcher toute forme de reconnaissance de la nation québécoise, le Canada s'est laissé entraîner dans un multiculturalisme radical dont personne n'a vu à l'époque qu'il venait souder les intérêts du Parti libéral du Canada au clientélisme ethnique. Faisant le choix d'accroître substantiellement son immigration, déployant des moyens faramineux pour encadrer les communautés en finançant une véritable nébuleuse organisationnelle, l'État canadian a été pour ainsi dire été livré au PLC. L'immigration se concentrant dans les grandes agglomérations urbaines, le long règne des libéraux a permis la consolidation de véritables châteaux-forts où se jouent désormais les élections fédérales.
Le spectacle de l'ineptie
Robert Laplante, l'Action Nationale
Le 14 novembre 2005
Quel incroyable spectacle nous donnent le NPD et le Parti conservateur. On ne sait plus très bien dans quel registre situer cette médiocrité : le vaudeville, le délire, l'absurde ou tout simplement l'insignifiance.
On les avait vu s'effondrer au printemps dernier, tremblant devant la moindre oscillation des sondages, rongés par la peur de se faire associer aux séparatistes pour renverser un gouvernement corrompu. On les voit désormais se désintégrer devant… devant quoi au juste ? Devant eux-mêmes, au fond. Devant la politique canadian et ce qu'elle a d'impitoyable depuis que le trudeauisme en a refaçonné la logique au point d'en faire le fondement de la modernisation institutionnelle. Ces deux partis sont incapables de se donner des programmes qui s'en démarquent réellement. Les préoccupations des couches électorales qu'ils servent ne parviennent guère à s'articuler sur un autre registre que celui qui a donné sa matrice idéologique au Parti libéral du Canada et n'apparaissent dès lors dans l'espace politique qu'en termes régionaux ou locaux. Le PLC a d'autant moins de mal à se présenter et se penser comme l'incarnation des intérêts nationaux que le paradigme sur lequel il s'est construit constitue réellement le nouveau socle identitaire de la société canadienne.
La négation de la nation québécoise, l'imposition d'une constitution illégitime, le Clarity Bill, tout cela forme un ensemble, un paradigme véritablement fondateur. Pour mieux empêcher toute forme de reconnaissance de la nation québécoise, le Canada s'est laissé entraîner dans un multiculturalisme radical dont personne n'a vu à l'époque qu'il venait souder les intérêts du Parti libéral du Canada au clientélisme ethnique. Faisant le choix d'accroître substantiellement son immigration, déployant des moyens faramineux pour encadrer les communautés en finançant une véritable nébuleuse organisationnelle, l'État canadian a été pour ainsi dire été livré au PLC. L'immigration se concentrant dans les grandes agglomérations urbaines, le long règne des libéraux a permis la consolidation de véritables châteaux-forts où se jouent désormais les élections fédérales.
Toute la dynamique politique du Canada s'appuie dès lors sur une mécanique impitoyable qui fixe les rapports entre les régions, surdéterminent les champs de recrutement des partis politiques et délimitent les zones de mouvance de l'opinion publique en fonction de la répartition des populations immigrées acquises au Parti libéral du Canada et qui jouissent pour ainsi dire de la « balance du pouvoir » dans l'arithmétique électorale. Le Parti conservateur et le NPD sont structurellement condamnés aux pirouettes insignifiantes : le Canada a préféré le risque du parti unique à celui du règlement de la question nationale du Québec.
C'est d'abord à cela que tient la médiocrité de la performance actuelle de ces deux partis. Ils sont incapables d'articuler une position politique conséquente parce que le Canada « national » qui s'est construit grâce à leur adhésion aux présupposés sous-jacents à la configuration de sa modernisation institutionnelle reste le seul horizon sur lequel se définit la dynamique politique. Le clientélisme faisant bien les choses, l'emprise du PLC sur l'Ontario ne fait pas seulement obstacle au développement d'une force « nationale » par l'un ou l'autre de ces partis, elle les condamne à singer un programme qui génère pourtant les sentiments d'aliénation sur lesquels ils ont recruté le noyau dur de leurs clientèles.
C'est un paradoxe qui ne cesse de saper leurs bases électorales et de dresser une espèce de mur invisible sur leur progression vers une plateforme « nationale ». Ce mur est devenu blindé avec l'échec de Meech et les transformations de la carte électorale qui ont achevé d'isoler le Québec, de réduire son poids dans la formation des majorités. Depuis qu'un gouvernement majoritaire peut être formé sans l'appui du Québec, le PLC bénéficie d'un avantage structurel qui fait dériver chaque jour davantage le Canada vers un régime de parti unique, un régime pimenté par des partis régionaux.
C'est d'abord à cela que tient la médiocrité de la performance actuelle de ces deux partis. Ils sont incapables d'articuler une position politique conséquente parce que le Canada « national » qui s'est construit grâce à leur adhésion aux présupposés sous-jacents à la configuration de sa modernisation institutionnelle reste le seul horizon sur lequel se définit la dynamique politique. Le clientélisme faisant bien les choses, l'emprise du PLC sur l'Ontario ne fait pas seulement obstacle au développement d'une force « nationale » par l'un ou l'autre de ces partis, elle les condamne à singer un programme qui génère pourtant les sentiments d'aliénation sur lesquels ils ont recruté le noyau dur de leurs clientèles.
C'est un paradoxe qui ne cesse de saper leurs bases électorales et de dresser une espèce de mur invisible sur leur progression vers une plateforme « nationale ». Ce mur est devenu blindé avec l'échec de Meech et les transformations de la carte électorale qui ont achevé d'isoler le Québec, de réduire son poids dans la formation des majorités. Depuis qu'un gouvernement majoritaire peut être formé sans l'appui du Québec, le PLC bénéficie d'un avantage structurel qui fait dériver chaque jour davantage le Canada vers un régime de parti unique, un régime pimenté par des partis régionaux.
Le Bloc Québécois a beau être fort au Québec, cela reste accessoire désormais. Il faut le dire et le redire pour ne pas perdre de vue l'essentiel : le Canada s'organise et évolue désormais sans le Québec. Certes, il reste empêtré dans ses contradictions, mais ce sont les siennes. Cela n'a plus rien à voir avec nous. Gilles Duceppe a beau être populaire à Moose Jaw, cela ne change rien à l'affaire. On l'a bien vu ces derniers jours, la décision de renverser le gouvernement se prendra entre partis canadian. Sur le plan électoral, le Bloc y trouvera son compte, c'est sûr. Mais il n'y trouvera que son compte, c'est-à-dire la possibilité d'aller témoigner à la Chambre des communes de la persistance d'une question nationale que le Canada choisit encore et toujours de nier en endossant une vision nationale et des réformes institutionnelles mises en place pour oblitérer notre peuple.
Le Bloc peut bien s'égosiller à dénoncer les libéraux, à prétendre qu'ils n'ont plus l'autorité morale pour gouverner, il perd son temps. C'est une majorité qui nous est étrangère qui en décidera. Le NPD et les conservateurs fondent leurs évaluations sur leur opinion publique nationale. On peut bien se désoler de leurs tergiversations, de l'invraisemblable cafouillage de leurs stratèges et de la faiblesse de leurs leaders, mais il faut voir les choses comme elles sont : la décision leur appartient. Le Bloc peut bien essayer de manœuvrer pour que cette décision se fasse dans un contexte qui lui permettra de tirer le meilleur parti des circonstances. Mais il ne fera que cela. Dans la politique canadian, il est condamné, comme le Québec tout entier, à essayer de se définir un horizon devant le spectacle de l'ineptie.
http://quebeclibre.net/
Le Bloc peut bien s'égosiller à dénoncer les libéraux, à prétendre qu'ils n'ont plus l'autorité morale pour gouverner, il perd son temps. C'est une majorité qui nous est étrangère qui en décidera. Le NPD et les conservateurs fondent leurs évaluations sur leur opinion publique nationale. On peut bien se désoler de leurs tergiversations, de l'invraisemblable cafouillage de leurs stratèges et de la faiblesse de leurs leaders, mais il faut voir les choses comme elles sont : la décision leur appartient. Le Bloc peut bien essayer de manœuvrer pour que cette décision se fasse dans un contexte qui lui permettra de tirer le meilleur parti des circonstances. Mais il ne fera que cela. Dans la politique canadian, il est condamné, comme le Québec tout entier, à essayer de se définir un horizon devant le spectacle de l'ineptie.
http://quebeclibre.net/